6 avril 2009
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Sébastien Tixier, artiste Art and You, sera mis à l'honneur lors du Festival Européen de la Photo de Nu qui précède les Rencontres photographiques d'Arles.
Durant ce festival, un concours, relayé par le magazine Réponses Photo, permet à une personne de gagner la chance d'exposer en envoyant un dossier de 10 photos sur un thème : cette année « Corps et Décors ». Sébastien Tixier a gagné le « Grand prix », qui lui permet d'être exposé dans le cadre du festival. Le labo DUPON réalisera le tirage de 10 photos qui seront présentées à l'Espace Van Gogh (place Wilson) à Arles du 6 au 17 mai 2009.
La qualité de son travail a été évaluée d'après des travaux issues de sa série « Histoire de Vies Ordinaires » dont l'ensemble « Que reste-t-il de nos rêves ? » (déjà exposé à Art & You et proposé sur le site).
Durant ce festival, un concours, relayé par le magazine Réponses Photo, permet à une personne de gagner la chance d'exposer en envoyant un dossier de 10 photos sur un thème : cette année « Corps et Décors ». Sébastien Tixier a gagné le « Grand prix », qui lui permet d'être exposé dans le cadre du festival. Le labo DUPON réalisera le tirage de 10 photos qui seront présentées à l'Espace Van Gogh (place Wilson) à Arles du 6 au 17 mai 2009.La qualité de son travail a été évaluée d'après des travaux issues de sa série « Histoire de Vies Ordinaires » dont l'ensemble « Que reste-t-il de nos rêves ? » (déjà exposé à Art & You et proposé sur le site).
En parallèle d’un travail sur l’urbanisme et son abandon – dans des paysages volontairement déshumanisés, Sébastien Tixier s’investit dans une recherche plus personnelle, au contraire profondément axée sur l’Humain et son rapport au corps.
Regroupées sous le thème de série « Histoires de Vies Ordinaires », les photographies de ce travail sont des mises en scènes, construites en courtes histoires, qui disposent d'une approche plus symbolique et conceptuelle.
Comme son nom l’indique, cette série est composée de plusieurs « Histoires » : La première Histoire réalisée dans le cadre de ce travail s’intitule « Que reste-t-il de nos rêves ? ». Présentée comme une succession de tableaux similaires, elle place, dans des mises en scène absurdes, des sujets de tout âge, de tout sexe et milieu social, dans des décors différents, mais tous saisis entre « espoir-malgré-tout » et désillusion. Le temps d’une photographie, ces inconnus nous dévoilent une face plus intime d’eux-mêmes, de leur rapport à leur cadre de vie, ou à la vieillesse, ou de leur rapport au corps.
[Visuel : Sébastien Tixier, Que reste-t-il de nos rêves ? #2]
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